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Le SML appelle à l’union syndicale
pour obtenir le retrait du projet de loi santé

 
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Paris, le 11 novembre 2014


Un bras de fer s’engage avec le gouvernement pour obtenir le retrait pur et simple du projet de loi. Après le lancement de sa pétition nationale, le SML appelle tous les médecins à la fermeture de leurs cabinets.  Seule l’union syndicale permettra d’éloigner le spectre de l’étatisation qui menace la médecine libérale.
 
Lors de la réunion de son Assemblée Générale extraordinaire, le 8 novembre, le Syndicat des Médecins Libéraux (SML) a réaffirmé avec fermeté son opposition totale et définitive au projet de loi santé.

Le SML se refuse à tout aménagement du texte qui contient les germes de la mise en place d’une offre de soins étatique et pose pour condition préalable à toute concertation, le retrait pur et simple de ce projet de loi. 

La première étape de contestation du SML a pris la forme d’une pétition nationale, lancée le 3 novembre, pour fédérer les patients autour de la défense du libre choix de leur soignant.

Le SML franchit désormais une nouvelle étape, en demandant, à l’unisson des autres syndicats représentatifs, à tous les médecins, généralistes ou spécialistes, de fermer leurs cabinets.

Si le gouvernement campe sur ses positions après ce mouvement de fermeture, le SML appelle tous les professionnels de santé libéraux à revenir à la charge pour faire entendre ensemble leur détermination et leur colère lors d’une grande manifestation nationale.

La sauvegarde de l’exercice de la médecine libérale nécessite une union syndicale sans faille !

Le SML réitère donc sa proposition de rencontrer tous les autres syndicats représentatifs pour donner une suite commune à ce combat unitaire contre la loi. 

 
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