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LE MOT DU PRESIDENT
Et maintenant ?
Le SML a décidé de signer les accords sur les CPTS et les assistants médicaux. Mais attention, pas béatement. L’assemblée générale a débattu longuement avant de se prononcer.
Clairement, les textes comportaient un nombre encore important de points qui auraient mérité que l’Assurance maladie soit plus à l’écoute de la profession et disposée à jouer la carte de la confiance.
Nous rentrons dans cet accord pour permettre à notre syndicat de venir en aide aux médecins face aux difficultés qui ne vont pas tarder à surgir. Rappelons que la gouvernance de cet ACI se décline jusqu’au niveau local.
Nous voulons que les médecins libéraux s’emparent des CTPS et des assistants médicaux pour les façonner à leur main. C’est un pari que nous prenons. Pourquoi ?
Les autres professionnels s’empareront des CPTS et les médecins sur qui pourtant reposeront les principales missions de CPTSQ seront en minorité. En revanche, si nous nous en emparons, nous saurons en faire de véritables outils au service des entreprises médicales libérales.
Avec un peu de volontarisme et la mobilisation de nos URPS, il serait parfaitement possible de permettre à l’exercice libéral de reconquérir du terrain et de redevenir attractif pour les jeunes. Mais cela n’est possible que si nous nous retroussons les manches et agissons rapidement.
Et si, pour une fois, les libéraux renversaient la table ? Vous en avez l’occasion…
Dr. Philippe Vermesch
Président du SML
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Les Journées du SML | 4-5-6 Oct. Palavas
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Une nouvelle impulsion !
Cette année, le SML fait peau neuve et vous donne rendez-vous du vendredi 4 au dimanche 6 octobre sous un nouveau format "Les Journées du SML" dans un cadre exceptionnel, naturel, riche et préservé à Palavas-Les-Flots.
Rejoignez nous pour une action commune en faveur d'une médecine libérale abordée de manière pragmatique avec des ateliers, exposés et conférences de très haut niveau.
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Assistants médicaux et CPTS : Le SML, signataire (très) critique
Le SML signera l’avenant no 7 relatif aux assistants médicaux et l’accord interprofessionnel (ACI) sur les communautés professionnelles territoriales de santé. Mais il s’agit d’une signature critique, et le SML fera tout pour infléchir des textes difficilement applicables en l’état. Son assemblée générale a critiqué le caractère technocratique de ces deux mesures et l’excès de contraintes qui nuisent à leur lisibilité et à leur attractivité. Dommage, car au départ les idées étaient bonnes. Mais elles ont été dévoyées. L’aide à l’embauche d’un assistant médical, dégressive, assortie d’objectifs de productivité et subordonnée à l’adhésion d’un système de coordination. Le SML proposera un modèle libéral et pragmatique de coordination, permettant de répondre aux besoins d’accès aux soins sans pour autant passer par le « raffinage » administratif de ces usines à gaz que sont les CPTS.
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Congrès Impact Climatmed | 26 Sept. Paris
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Depuis quelques années, on remarque un fort impact de l'environnement sur notre santé.
Cette journée permet aux professionnels de santé de renouveler leurs connaissances sur le sujet à travers diverses formations
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Le conseil d’État conforte le pouvoir de sanction du directeur de la CPAM pour dépassements abusifs
Le conseil d’État a conforté le pouvoir de sanction du directeur de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) en cas de dépassements abusifs des médecins libéraux, lorsque les syndicats médicaux refusent de se prononcer sur plusieurs dossiers examinés en commission paritaire nationale. « Lorsqu’aucune majorité ne s’est dégagée au sein de cette dernière, de même que lorsqu’elle ne s’est pas réunie dans le délai de deux mois…, son avis est réputé rendu mais ne saurait être regardé comme un avis rendu en séance et, à ce titre, contraindre le pouvoir de sanction du directeur de la CPAM quant au plafond des sanctions susceptibles d’être décidées. » En d’autres termes, le directeur de la CPAM peut être juge et partie sans que cela ne fasse sourciller les gardiens du droit administratifs. Et voilà, le directeur de la Caisse se voit doté d’un pouvoir punitif de plus…
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Téléconsultations : une montée en charge très progressive
En trois mois, de mi-mars à mi-mai, le nombre de téléconsultations médicales par l’Assurance maladie a doublé, passant de 8 000 à 16 011 actes remboursés par l’Assurance maladie.
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Loi santé : députés et sénateurs trouvent un compromis
La commission mixte paritaire sur le projet de loi relatif à l’organisation et à la transformation du système de santé a trouvé un accord. Les débats ont particulièrement porté sur la séquence de professionnalisation territoriale à la fin du troisième cycle des études de médecine, amendement introduit par le Sénat. La CMP est parvenue à une rédaction de compromis, prévoyant l’obligation pour les étudiants de troisième cycle de médecine générale et d’autres spécialités de premier recours d’effectuer un stage d’au moins six moins en médecine ambulatoire, en priorité dans les zones sous-denses, sous le régime de l’autonomie supervisée. De même, l’amendement, intégrant dans le champ de la négociation conventionnelle des conditions dans lesquelles les médecins participent à la réduction des inégalités territoriales dans l’accès aux soins, a été conservé.
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L’hospitalisation privée réclame le droit de partager les mêmes devoirs dans l’accueil des urgences
La fédération hospitalière privée réclame plus d’autorisations d’activité de soins de médecine d’urgence pour les établissements privés. Ce qui contribuerait grandement à soulager les services publics d’urgences. Malheureusement, depuis plusieurs années, les ARS refusent aux cliniques l’ouverture de nouveaux services d’urgence. 42 départements n’en ont pas. Les 126 services d’urgence des hôpitaux et cliniques privés qui existent auraient, selon la FHP, « la capacité de doubler le nombre de patients accueillis à condition que la régulation oriente les patients vers les établissements du territoire, de manière équilibrée entre privé et public ».
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Restez connecté avec l'e-learning
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Les modules en lien avec l'actualité médicale
Nouveauté 2019 : il est possible d’effectuer ses 21 heures de DPC en e-learning.
Pratique, concis, flexible… l’e-learning est une alternative pour se former.
L’Association pour la Formation des Médecins Libéraux (AFML) propose un panel de formations variées et permet ainsi à chaque médecin libéral ou salarié d’entretenir et de perfectionner ses connaissances professionnelles.
Pour vous inscrire, merci de contacter Reine-Marie SYLVA au 01 53 68 90 12.
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Des mesures pour « refondre la PMI »
Le secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance, Adrien Taquet, veut « refonder la PMI ». Parmi les mesures allant dans ce sens : l’instauration « d’un parcours 1 000 jours » qui « couvrira les premières années de vie jusqu’à l’entrée en maternelle » et dans lequel la PMI (devrait avoir sa place. Le secrétaire d’État s’interroge également sur l’attractivité du statut du médecin territorial et veut encourager « les passerelles et les temps partagés entre PMI, secteur hospitalier et médecine de ville ». Enfin, il affiche sa volonté de réfléchir à la répartition des missions entre médecins et infirmières puéricultrices, qui pourrait déboucher sur des délégations de missions.
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Un DMP dès la naissance ?
La mission sur « le parcours de coordination renforcée santé-accueil-éducation » des enfants de 0 à 6 ans préconise de développer « de nouvelles expérimentations sur le chantier du dossier médical partagé de l’enfant ». Celles-ci devraient « inclure a minima un travail sur l’automaticité de l’ouverture d’un DMP de l’enfant à la naissance ». La réflexion devrait également porter, selon la mission, « sur l’accès des professionnels de PMI et de la médecine scolaire au DMP ». Elle constate le déclin du nombre d’examens et de bilans entre deux et six ans. D’où cette réflexion sur l’intégration des données du carnet de santé dans le DMP, assortie éventuellement de système d’alerte automatisé.
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Numérique en santé : « avoir une vision cohérente » pour éviter « le gaspillage »
Le responsable ministériel du numérique en santé, Dominique Pon, a estimé que de l’argent public avait été « gaspillé » dans le programme Territoire de soins numérique (TSN). Il a appelé « à la plus grande sagesse » dans la distribution des financements des outils numériques et appelle à avoir « une vision collective et cohérente ». Le SML est stupéfait devant ce gâchis d’argent public au moment où les moyens sont rognés aux soignants. Une telle gabegie mériterait une commission d’enquête parlementaire.
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Congrès Cybermed | 15 Nov. Nice
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Intelligence artificielle | Réalité virtuelle | Sécurité des données
Venez vous former, débattre et approfondir vos connaissances en cybermédecine !
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Assistants et CPTS : trois syndicats de médecins signeront les accords malgré des réserves
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Assistants médicaux, CPTS : malgré leurs critiques, la CSMF et le SML disent banco !
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Déserts médicaux : accord entre la Sécu et les médecins
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Assistants médicaux, CPTS : cette fois, ils ont signé !
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